Le massage est un soin.

Depuis plus de dix-sept ans, Rachel Labbé accompagne les personnes vers le bien-être, la détente, et le soulagement des tensions musculaires.

Originaire des Pays de la Loire, cette praticienne en massage de 42 ans a suivi sa formation initiale à l’Ecole GUIJEK de Montréal, avant de s’installer dans le sud de la France. À Aix-en-Provence et à Marseille, Rachel Labbé a travaillé dans des spas haut de gamme puis a managé leurs équipes. Elle est aussi devenue formatrice en massages suédois.

Ce que Rachel Labbé enseigne à ses stagiaires, elle le pratique avec sa clientèle depuis de nombreuses années : « Le soin débute par l’accueil dans une pièce chaleureuse, aérée, et qui sent bon. Dans cette atmosphère apaisée, le ton de la voix, le regard et le sourire invitent la personne à se détendre, et se sentir en confiance. L’essentiel étant de faire naître entre le donneur et le receveur du massage une vraie qualité d’échange. »

La praticienne en massage compose sa gestuelle à l’écoute des besoins de la personne, de ses maux, des zones en tension, sensibles ou douloureuses. Elle a notamment massé des gymnastes de l’équipe de France et des danseurs du ballet du Bolchoï. Le toucher réconforte. « Masser, c’est faire un geste vers l’autre, lui proposer son écoute et son aide de façon spontanée », témoigne-t-elle.

Au moins une fois par an, elle découvre de nouvelles techniques de massage en allant se former, en France ou à l’étranger, auprès de praticiens reconnus. Sa base de massage suédois s’est ainsi étoffée des rituels californien, balinais, hawaïen, thaï traditionnel et Chi Nei Tsang, des techniques de la réflexologie thaï et kobido, des pierres chaudes ou encore des massages profonds « Deep Tissue ». Son dernier coup de cœur : les soins du visage chinois et japonais. Rachel Labbé renouvelle et enrichit sa gamme de massages avec laquelle elle façonne des protocoles sur mesure, adaptés à chacune et chacun.

Alexie Valois, journaliste.
Mars 2016.